jeudi 25 juin 2009


Doux jésus que j'aime les soldes! Mercredi 24 juin début des soldes, alors forcement on prend la mégatonne de tune, en espérant ne pas tout dépenser, on sait jamais si on avait un petit imprévu, je parle surtout d'un petit coup de foudre vestimentaire de dernière minute biensur. Finalement on dépense souvent tout, c'est mon cas. Il nous reste juste souvent de quoi aller boire un verre histoire de reposer nos pieds douloureux qui ont eu la chance de nous porter toute la journée. On a souvent du mal à choisir entre tous ces bars, brasseries, cafés, prendre le moin cher? Celui ou il font les meilleures choses? Ou... Celui où on a tendance à se didiger juste parce qu'on y a entrevu quelque chose de vraiment, mais vraiment très intéressante dont on a du mal à quitter le regard. Hum. Moi, je vous cache pas que c'est souvent le dernier choix que je prends. Et là, moi qui croyait avoir fini ma journée de soldes en étant toute contente de mes achats, et bien non. Vous seriez contente vous si un vieil ami, assis à ce bar, que vous n'avez pas vu depuis au moin 5 ans, devenu super canon, et dont les probabilité de le croiser dans une ville aussi grande juste au bon moment, se souvienne de vous et vous invite justement à la soirée qu'il a prévu le soir même? il faut juste se dire magnifique coincidence.
Merci les soldes.

Art' si t'as lu ce message mec, tu sais ce que je pense. Love U Babe.

mardi 2 juin 2009

The birds and the bees.


Débarquant par un hasard extraordinaire, devant ce voleur coronaire, bien plus qu’un simple leitmotiv, plus chaotique, sans secours. Tel un narcotique, anesthésie. je décrirai mes sensations, les plaies béantes qui jamais ne guérissent, existe-t-il réellement un sauveur, ou es-tu juste mon septième saut? Sans hésitation, sans trêve. Je ne veux jamais m’écraser. Je suis sur des sables mouvants, indécise. Sortir ou non. Gravité. Pas d’issue. Je chute, heurte le sol. En un bruit sourd, à chaque fois que tu sembles t’approcher. Je décrirai mes sensations. Tu es mon nouveau talon d’Achille. Et maintenant? Allonge toi sur ton lit le soir et pense à ta vie, est-ce que tu veux changer? Essaye de laisser la vérité de coté, les combats de ta jeunesse, parce que ce n'est qu'un jeu. Un magnifique mensonge. Le déni parfait. Un mensonge si magnifique en lequel croire. Caché derrière un visage vide. Ne demande pas trop, parle juste, car rappelles toi que ce n'est qu'un jeu. Tout le monde nous regarde. Je sais. Je cours dans tous les sens en rond, fuis le calme désespoir qui est en train de se construire plus haut. Il faut que je me rappelle que ce n'est qu'un jeu. Alors je cours, me cache et me déchire. Je recommencerai avec un nouveau nom. Et les yeux regardant dans l'infini. Je disparaîtrai.